Au mois de juillet, Michael Whibley s’est joint à l’équipe Assurance des entreprises de NFP, faisant ainsi profiter notre organisation de sa grande expertise en matière d’assurance des petites et moyennes entreprises. Fort de ses plus de 13 années d’expérience, Michael sera un atout précieux pour l’équipe de NFP et ses clients au Canada, en aidant l’entreprise à réaliser ses objectifs relatifs à l’amélioration de la couverture et en répondant aux besoins des clients en matière de risques complexes.
Pour en savoir plus sur son expérience au sein de l’entreprise, nous nous sommes entretenus avec lui pour discuter de son entrée en fonction à NFP.
Note de la rédaction : Cette entrevue a été révisée dans un souci de clarté et de concision.
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NFP : Pouvez-vous nous dire comment vous avez vécu votre arrivée à NFP?
Michael : Dès le début du processus de recrutement, c’était plus personnel, notamment parce que j’avais de bonnes relations avec l’équipe, ayant déjà créé certains liens dans le cadre de mes précédentes fonctions au sein de l’industrie. J’ai donc senti une bonne connexion.
C’était une très bonne expérience et ça augurait bien pour la suite. L’équipe de NFP a été très accueillante, et mes collègues ont pris le temps d’apprendre à me connaître dès mon arrivée. Comme le tout se faisait à distance, je leur étais très reconnaissant de m’accueillir si chaleureusement dans ma nouvelle équipe.
NFP : Pourquoi avez-vous décidé de vous joindre à NFP?
Michael : J’ai passé la majeure partie de ma carrière du côté des assureurs et je voulais me joindre à une organisation où je pourrais apporter une valeur ajoutée aux clients et à l’entreprise. Parmi toutes les sociétés de courtage présentes dans ce secteur, j’avais le sentiment que NFP offrait le plus grand potentiel. Je voulais participer à la croissance et au développement d’une marque et d’un groupe de personnes fantastiques et mettre à profit mon expérience pour procurer une valeur ajoutée au client. Franchement, ça me paraissait un endroit des plus stimulants.
NFP : En quoi votre expérience antérieure vous aide-t-elle au sein de NFP?
Michael : Je pense que mon expérience me permet d’avoir une meilleure vue d’ensemble. Du côté des assureurs, vous essayez constamment de prédire l’avenir et de savoir à quoi ressembleront les résultats dans un an, voire dans deux ans et au-delà. NFP excelle déjà dans le domaine du service à la clientèle, de sorte que mon travail en lien avec l’établissement de structures organisationnelles et de stratégie à long terme s’intégrera parfaitement à cette approche axée sur le client. De plus, je connais très bien la perspective et la stratégie de l’assureur, ce qui me permet de lire entre les lignes des communiqués de presse et du langage d’entreprise, afin de mieux comprendre ce que disent les marchés et ce qui se passe réellement. Comme j’ai connu les deux côtés de la médaille, je sais à quoi ont affaire les courtiers et ce qu’on leur présente en coulisse. Étant moi-même chargé de gérer certains très gros comptes de profits et pertes du côté des assureurs, je comprends les enjeux. Il est très important de jouer le rôle d’intermédiaire entre le personnel de première ligne et les clients, et je suis ravi de pouvoir apporter ma contribution à cet égard.
NFP : Compte tenu de votre rôle actuel, comment décririez-vous vos domaines de spécialité en matière de courtage d’assurance?
Michael : C’est une excellente question. J’ai touché un peu à tout durant ma carrière, des grands comptes nationaux aux petits comptes transactionnels axés sur la communauté. J’apporte à ce poste une connaissance approfondie du marché des petites et moyennes entreprises. Si l’on pense aux entreprises au Canada, environ 97 % d’entre elles sont considérées comme des petites et moyennes entreprises; elles constituent donc la majeure partie de notre économie. Le marché de l’assurance est un peu chaotique – hausse des taux et réduction de la capacité. Grâce à ma vaste expérience, nous pouvons aider nos clients à s’y retrouver dans le chaos et à trouver des solutions.
NFP : Au sujet des petites entreprises, on se demande quoi penser de certaines entreprises qui passent au commerce en ligne. Qu’en pensez-vous?
Michael : La vérité est que personne ne sait à quoi ressemblera l’avenir après la COVID-19. Les établissements qui ont pignon sur rue ont toujours de la valeur. Toutefois, de nombreuses entreprises continueront à accroître leurs services en ligne même si elles conservent leurs vitrines. Nous devons aussi tenir compte des cybermenaces croissantes. Les demandes de rançon pour restaurer les systèmes clés et les données des clients sont plus fréquentes que jamais. Face à ces perspectives incertaines, je sais que nous devons tous faire preuve de souplesse et réagir de manière appropriée pour gérer les risques émergents.
NFP : Compte tenu de ce que vous avez dit au sujet de l’avenir incertain, pensez-vous que quelqu’un dans le secteur de l’assurance aurait pu prédire une pandémie ou mieux s’y préparer?
Michael : Je pense que personne n’aurait pu prévoir une pandémie mondiale. Quand on regarde comment les compagnies d’assurance géraient la tarification des risques et les traités de réassurance sur les catastrophes, on voit que la répartition géographique a toujours fait partie de la stratégie. On peut concevoir l’éventualité d’un grave incendie en Asie du Sud-Est, mais on ne s’attend pas à ce qu’il y ait un tremblement de terre au Mexique au même moment. Les compagnies d’assurance ont vu que le modèle de risque géographique ne tenait pas la route en cas de pandémie.
NFP : Quels sont les risques les plus courants dans le domaine de l’assurance?
Michael : En dehors de la pandémie, les conditions climatiques extrêmes sont la plus grande source de préoccupation. La gravité des conditions météorologiques – inondations, feux de forêt, tornades – est à l’origine de la plupart des hausses de taux sur le marché des assurances. Pendant la pandémie de COVID-19, les assureurs ont enregistré des bénéfices plus élevés en raison de la baisse des sinistres dans le secteur de l’automobile. Toutefois, dans tout le secteur, on se prépare à des événements météorologiques coûteux d’un bout à l’autre du pays. Les tendances en matière de tarifs devraient rester largement les mêmes et les contraintes liées à la capacité devraient continuer de s’exercer tant que les problèmes météorologiques persistent.
NFP : Pourquoi êtes-vous passionné par l’assurance?
Michael : Je suis passionné par l’assurance, car elle permet aux entrepreneurs de se concentrer sur leur valeur pour les clients. Le rôle de NFP, c’est de garantir la prise en charge des risques du client. Je veux que tous nos clients sachent qu’ils peuvent faire confiance à NFP comme partenaire en gestion des risques. Ils peuvent être certains qu’ils sont au centre de nos préoccupations, qu’il s’agisse de trouver des capacités à prix équitable, de trouver des moyens innovants de protéger leurs entreprises ou de les aider à gérer une réclamation. Nous nous efforçons de démontrer notre valeur dans chaque interaction.
Pour de plus amples renseignements, rendez-vous sur le site NFP.ca/fr-ca/