
De nombreux propriétaires se sentant à l’étroit dans leur maison pour travailler et étudier, l’activité au sein du marché s’est intensifiée à mesure que la pandémie s’étendait.
Devant le faible stock de logements, les guerres d’enchères sur les maisons existantes et la hausse du prix des logements, les propriétaires ont cherché à agrandir leur maison pour la rendre plus spacieuse. De nombreux propriétaires ont adopté cette idée. Très vite, les prêteurs ont vu affluer les propriétaires cherchant à refinancer leur maison actuelle pour y apporter des améliorations.
Il n’y a rien de nouveau dans les rénovations résidentielles. À la lumière de la pandémie, les dépenses de rénovation devraient toutefois augmenter de manière importante. Selon une récente enquête de HomeStars, près des trois quarts (74 %) des propriétaires canadiens prévoient de rénover leur maison en 2021.
Cependant, les prêteurs font marche arrière. À mesure que la demande augmentait, les prêteurs resserraient leurs exigences et refusaient certains acheteurs. Coincés entre la protection de leurs investissements et le maintien de bonnes relations avec leurs clients, les prêteurs ont de plus en plus de mal à faire la part des choses.
PROTÉGER LES INVESTISSEMENTS
Il existe des produits qui permettent aux prêteurs d’accepter des affaires sans crainte de défaut, comme le programme de protection des avoirs (PPA) de NFP. Grâce à cette protection, les prêteurs sont en mesure d’élargir les lignes directrices en matière de prêts et d’offrir une gamme de produits de financement sur valeur nette immobilière qui comporte moins de risques supplémentaires. Les emprunteurs dont les portefeuilles de risques sont atypiques peuvent être pris en charge. En outre, les prêteurs peuvent offrir un certain nombre d’options de prêt, notamment :
Prêt d’amélioration résidentielle non garanti : Élimine la nécessité de passer par un processus de clôture long et coûteux. En effet, un prêt non garanti est généralement assorti d’un taux d’intérêt plus élevé, mais le PPA de NFP permet aux prêteurs de réduire les taux d’intérêt, attirant ainsi davantage d’affaires. Il donne également aux prêteurs la possibilité de prolonger la durée du prêt, ce qui le rend plus abordable pour le propriétaire.
Marge de crédit hypothécaire : Permet de mieux fidéliser la clientèle, car les emprunteurs effectueront des paiements tout en conservant la marge de crédit dont ils disposent pour une utilisation ultérieure.
Prêt d’amélioration résidentielle garanti : Les prêteurs peuvent prêter jusqu’à 133 % de la valeur nette de la propriété sans accroître leurs risques.
Le PPA peut :
- accorder aux prêteurs une protection contre le défaut de la part de l’emprunteur;
- permettre une augmentation des seuils de ratio d’emprunt à 100 %;
- éliminer les procédures de saisie immobilière coûteuses pour le prêteur;
- assurer la protection du bilan;
- réduire les besoins en capitaux;
- accroître les revenus et fidéliser les clients.
Même dans un contexte de prêt incertain, les prêteurs veulent rechercher de nouvelles affaires. Toutefois, cette démarche ne doit pas s’accompagner d’expositions injustifiables à des pertes.
Les institutions financières devraient envisager des produits d’assurance qui offrent une protection contre les défauts et permettent aux entreprises de croître sans craindre d’aller au-delà de leurs engagements. Tant les emprunteurs que les prêteurs en bénéficieront à long terme.
Pour de plus amples renseignements, rendez-vous sur le site NFP.ca.